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CONFLIT RUSSIE/UKRAINE

ALLONS-NOUS VERS LA PAIX ?
Quelle est la position de nombreux dirigeants ?

ZELENSKY IRAIT VERS UN ACCORD AVEC DONALD TRUMP

La diplomatie Américaine conduite par Donald Trump serait dans le vrai et permettrait ainsi une solide paix à condition qu’il y’ait aucunes maladresses d’un troisième groupe voulant rentrer dans cet accord. 

Dans un premier temps en conflit avec Donald Trump,  Zelensky a officiellement donné son accord à l’idée d’effacer la dette ukrainienne en échange de l’exploitation des terres rares par les Américains. Cette décision marque un tournant majeur dans la stratégie ukrainienne, avec l’espoir que cette concession permette de stopper les bombardements russes et ouvre la voie à une paix durable.

En acceptant ce compromis, l’Ukraine s’engage à respecter ses obligations pour garantir une stabilité à long terme.

Les États-Unis, en envoyant des travailleurs pour exploiter les ressources naturelles, renforceront leur présence économique et sécuritaire en Ukraine. La mobilisation de soldats américains pour protéger les terres rares pourrait également permettre de sécuriser la région, réduisant ainsi les risques de nouvelles agressions et offrant une garantie de stabilité pour l’Ukraine. 

Poussée par une nouvelle dynamique, cette alliance pourrait contribuer à changer le cours du conflit et à redéfinir les relations internationales en Europe.

VOICI LES POSITIONS DE NOMBREUX LEADERS ET PERSONNALITÉS POLITIQUES À TRAVERS LA FRANCE ET LE MONDE CONCERNANT CE CONFLIT.

LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES

Vladimir Poutine : Le président russe maintient une posture ferme et n’est pas enclin à faire des compromis dans le cadre de négociations de paix. Selon l’Institut pour l’étude de la guerre (ISW), Poutine reste déterminé dans ses positions, rendant difficile toute avancée vers un cessez-le-feu ou une résolution pacifique du conflit.

Volodymyr Zelensky : Le président ukrainien a récemment proposé une trêve partielle à Vladimir Poutine pour arrêter les attaques aériennes et maritimes, notamment contre les infrastructures civiles et énergétiques. Cette initiative inclut également un échange de prisonniers de guerre et vise à rétablir la confiance avec les États-Unis. C’est la première fois que Zelensky propose publiquement un cessez-le-feu partiel, après des tentatives infructueuses de médiation internationale pour mettre fin au conflit.

Ce dernier, le Président Zelensky a exprimé des regrets concernant une récente rencontre tendue avec le président américain Donald Trump, qualifiant cet échange de “regrettable” et cherchant à réparer leur relation. Il a réaffirmé la volonté de l’Ukraine de négocier la paix avec la Russie et a proposé un accord sur les ressources minérales avec les États-Unis pour parvenir à une paix durable.

Donald Trump : Le président américain a appelé à un “cessez-le-feu immédiat” en Ukraine et a critiqué Zelensky, affirmant que ce dernier ne semble “pas vouloir la paix”. Trump a également suspendu l’aide militaire américaine à l’Ukraine, exigeant des preuves concrètes de la volonté de Kiev de négocier la paix avec la Russie avant de reprendre tout soutien.

POSITIONS DES PRINCIPAUX LEADERS EN EUROPE ET DANS LE MONDE

Les positions des dirigeants européens concernant l’envoi de troupes en Ukraine varient considérablement. Certains leaders, comme le président français Emmanuel Macron et le chef de l’opposition britannique Sir Keir Starmer, tentent de former une « coalition des volontaires » pour déployer une force de maintien de la paix de 30 000 soldats en Ukraine. Des pays du Commonwealth tels que l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada, ainsi que des nations scandinaves comme la Suède et le Danemark, ont exprimé leur ouverture à contribuer à cette force. L’Irlande et la Turquie envisagent également une participation.

Cependant, d’autres nations européennes, notamment l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la Pologne et les États baltes, se montrent réticentes ou ont exclu l’envoi de soldats en Ukraine mais partage l’idée que La Russie cesse d’attaquer Kiev et sont partisans pour une paix durable.

Concernant les positions alignées avec celle de Donald Trump, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est clairement positionné en faveur du président américain, critiquant la posture de l’Union européenne qui soutient la résistance ukrainienne. Orbán a annoncé une réunion avec Emmanuel Macron à Paris avant le sommet européen sur l’Ukraine, soulignant une alliance avec des pays comme la Slovaquie et la Serbie.

En France, le président du parti Les Républicains, Éric Ciotti, a exprimé son soutien à la position de Donald Trump concernant l’Ukraine, appelant à des négociations de paix et critiquant l’escalade militaire. Cette position a suscité des débats au sein de la classe politique française, certains estimant qu’elle affaiblit la solidarité européenne envers l’Ukraine.

Par ailleurs, le Premier ministre français, François Bayrou, a vivement critiqué la suspension de l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine, qualifiant cela d’« insupportable » et assimilable à un abandon de l’Ukraine face à la Russie.

Ces divergences illustrent la complexité des positions européennes face au conflit en Ukraine et aux initiatives diplomatiques internationales.

La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, adopte une position nuancée concernant l’envoi de troupes en Ukraine et le soutien à Donald Trump. Elle a clairement affirmé que l’Italie n’enverrait pas de soldats en Ukraine, désapprouvant ainsi le plan franco-britannique de déploiement de troupes européennes de maintien de la paix.

Meloni a également exprimé des réserves quant à l’efficacité du plan européen discuté lors du sommet de Londres le 2 mars, préférant parler d’« idées » plutôt que de plan structuré.

Concernant ses relations avec Donald Trump, Meloni a tenté de se positionner comme un « pont » entre les États-Unis de Trump et l’Europe. Elle a assuré que, malgré la rhétorique anti-européenne de Trump, le président américain ne tournerait pas le dos à l’Europe. Cependant, elle n’a pas explicitement aligné sa position sur celle de Trump concernant l’Ukraine.

Georgia Meloni a récemment refusé de collaborer avec l’Angleterre et la France pour l’envoie de troupes Italiennes en Ukraine.

En somme, Giorgia Meloni maintient une position prudente, refusant l’envoi de troupes italiennes en Ukraine tout en essayant de jouer un rôle de médiatrice entre les États-Unis et l’Europe.

POSITIONS DE L’ÉTAT D’ISRAËL 

Historiquement, Israël a maintenu une position neutre concernant le conflit en Ukraine, en raison de ses relations complexes avec la Russie, notamment en ce qui concerne la situation en Syrie. Cependant, des discussions récentes suggèrent que l’histoire de l’Ukraine pourraient inciter Israël à reconsidérer sa position et à fournir un soutien plus affirmé à Kiev. La défaite du Hamas et du Hezbollah, ainsi que la chute du régime Assad, ouvrent une voie inédite à la coopération entre les deux pays. Israël serait favorable de donner à l’Ukraine toutes les armes Russes et Iranienne saisie au Hamas et au Hezbollah sans pour cela rajouter de l’armement Israélien.

Positions de diverses personnalités politiques Françaises

Jean-Luc Mélenchon : Le leader de La France insoumise soutient l’envoi d’armes à l’Ukraine, mais s’oppose fermement à l’envoi de troupes françaises, estimant que cela pourrait entraîner une escalade dangereuse.

Nicolas Sarkozy : L’ancien président a exprimé des positions nuancées sur la Russie, plaidant pour une approche diplomatique que l’envoi de troupes Européenne sur le sol Ukrainien…

Carla Bruni-Sarkozy : L’épouse de Nicolas Sarkozy, ancienne Première dame, n’a pas pris publiquement position sur ce sujet.

Jordan Bardella : Le président du Rassemblement national (RN) s’est déclaré “totalement opposé” à l’envoi de troupes françaises sur le front ukrainien. Il a également exprimé des réserves quant à la fourniture d’armes lourdes à l’Ukraine, estimant que cela pourrait faire de la France une “cobelligérante” dans le conflit.

Éric Zemmour : Le président de Reconquête ! n’a pas exprimé de position publique récente sur l’envoi de troupes françaises en Ukraine. Cependant, son parti a adopté une ligne critique envers l’Union européenne et l’OTAN, prônant une politique étrangère plus indépendante pour la France.

Sarah Knafo : Conseillère et compagne d’Éric Zemmour, elle est également engagée en politique en tant que numéro trois sur la liste de Reconquête ! pour les élections européennes. Bien qu’elle n’ait pas pris de position publique spécifique sur l’envoi de troupes en Ukraine, elle a exprimé des critiques envers l’Union européenne, estimant que celle-ci “nous désarme”.

Philippe de Villiers : Ancien ministre et figure souverainiste, il n’a pas exprimé de position publique récente concernant l’envoi de troupes françaises en Ukraine.

Éric Ciotti: totalement Contre se rangeant derrière les positions de Donald Trump.

Positions d’Amazlife : prendrait les mêmes positions nuancées de Georgia Meloni, Diplomatie, pas d’envoie de troupes Européennes, une paix durable avec une cessation de bombardements russes sur Kiev ou grandes villes. En sachant une chose, si Zelenski allait dans le sens de Donald Trump, de donner des terres rares aux USA en echange de l’effacement d’une dette de guerre, cela permettrait automatiquement l’envoie de troupes Américaines en Ukraine ce qui nous permettrait de penser la cessation de la guerre, car nous imaginons mal Poutine s’attaquer aux troupes Américaines sous les ordres de Donald Trump. Nous espérons une paix durable entre les Russes et les Ukrainiens et forcément pour toute l’Europe.

Analyse d’Amazlife

À l’Assemblée nationale, François Bayrou et Éric Ciotti se sont livré à un oratoire chacun de 20 minutes minimum afin de défendre l’envoie de troupes ou plutôt se ranger derrière une paix à la Donald Trump. Les deux discours étaient bons, avec une envie de sensibilisé nombreux députés ou tout simplement l’opinion publique. Ceci se reproduit dans tous les pays Européens ayant la possibilité d’envoyer des troupes.

Nous avons le sentiment que Donald Trump tourne le dos à l’Europe de Bruxelles, mais pas à l’Europe des Nations comme le pense Georgia Meloni, nous avons le sentiment que l’Europe de Bruxelles très à gauche laissant exhiber dans son hémicycle des députés européens portant le Keffieh ou laissant visibles des vêtements ayant comme slogans des PALESTINE VAINCRA ou pouvant avoir des messages de soutiens à la résistance terroriste palestinienne aujourd’hui ayant comme protagoniste le Hamas, ou permettant à des lhobby wokkiste de se développer à travers toute l’Europe, Cette Europe n’est plus véritablement amie avec la philosophie capitaliste de l’oncle Sam. Nous avons peur que l’Europe de Bruxelles nous mène tout droit vers, soit une troisième guerre mondiale meurtrière, soit une victoire sur Poutine et donc un changement de régime en Russie.

 

Rédaction Amazlife, Actualité
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15 jours il y a

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