LE MONDE DES ROBOTS EST EN MARCHE

Dans un futur très proche qui existe déjà dans certaines découvertes, les robots mécaniques humanisés ou tout simplement humanoïdes feront partie de nos quotidiens. Ils nous côtoieront au travail, pouvant accomplir nombreux emplois comme serveurs, peintre en bâtiments, défricheurs de cultures, chauffeurs routiers, taxis, militaires, puis dans un avenir plus lointain, ils seront sportifs, footballeurs, joueurs de tennis, lutteurs, et autres sports…. Ils accompliront des tâches de prévention et d’assistance à la personne et pourront raconter des histoires afin de divertir des patients à l’Hôpital ou des personnes âgées chez eux… L’enjeu chez les concepteurs programmateurs est d’assurer que leurs interactions avec les différentes populations se fassent en parfaite harmonie pour assurer une évolution à succès. Des chercheurs à l’Institut italien des technologies (IIT), à Gênes, participant au projet Andy, se donnent 10 à 15 ans pour parvenir à ce résultat. Elon Musk à tout un département lié à cette recherche, il se dit beaucoup plus confiant pour des résultats plus rapides. Dans un premier temps les robots dans nombreuses professions seront de parfaits assistants personnels puis rapidement pourront nous remplacer, pour ceci le robot devra parler pour pouvoir dialoguer et converser, devra distinguer par la vue, avoir des programmes internes de mémorisation faciale et autres de différentes discussions échangés…. Pour enseigner tout cela au robot, les chercheurs développent des modèles de comportements humains en mesurant nos différents mouvements ainsi que l’intensité de nos efforts à l’aide de la technologie AndySuit, une combinaison recouverte de capteurs. Les données collectées vont permettre au robot d’apprendre à garder l’équilibre, à se déplacer en présence d’humains et à réagir en fonction de leurs mouvements. Ces données étant d’ailleurs partagées presque en temps réel avec le robot, celui-ci pourrait même anticiper nos gestes et intervenir pour nous aider à les réaliser. Les chercheurs travaillent également via le comportement humain à permettre d’obtenir aux robots de l’empathie, de l’humour faciale grâce par exemple à des grimaces ou certaines mimiques. Luc (Amazlife)
LES CHIENS ROBOTS OU LES DOGS ROBOTICS

Nous vivons une drôle d’époque, de plus en plus, nous verrons dans nos rues des chiens robots en laisse tirés par leurs propriétaires. De plus en plus, nous verrons des Chiens robots pouvant faire des taches de surveillances policières ou autres. Aujourd’hui le marché du chien robot est colossal, il peut avoir différents usages et chaque utilisation tirera probablement à utiliser moins de mains d’œuvres humaines pour différentes taches professionnelles. Les États-Unis utilisent déjà le chien robot comme garde frontière pouvant donc surveiller la venue de nombreux migrants venant de la frontière Mexicaine, Ce même pays utilise également le chien robot pour des missions policières pour le moment uniquement de surveillance… DES CHIENS ROBOTS MILITAIRES. Aujourd’hui grâce aux industries militaires, différentes armées peuvent désormais compter sur un type de soldats complétement nouveau, des fantassins à quatre pattes pouvant tirer avec différentes armes, marcher à des vitesses continues de 10 à 15 km/heures, pouvant porter des blessés, apporter des médicaments ou faire des missions de repérages ou tout simplement de surveillances. Ce chien robot pourra bien entendu servir dans la police pour exactement les mêmes missions que nous venons de citer. DES CHIENS ROBOTS POUR AVEUGLES. Porteren robot pourra avoir de nombreuses autres taches, comme porter des colis ou autres, devenir guide de malvoyants, n’oublions pas qu’il est infatigable et ne sera jamais en grève contrairement à de nombreux travailleurs devant suivre certains syndicats. UN MONDE MEILLEUR OU DÉSHUMANISÉ. Trainé un chien robot en laisse au lieu d’un petit caniche ou d’un gentil et fidèle labrador pouvant nous apporter loyauté, rires et affections, le monde de la robotique entrainera surement un monde déshumanisé, ou nos collègues seront davantage issues de l’intelligence artificielle ou sortants d’ateliers militaires. Les équipes d’Amazlife ne sont totalement convaincus d’un monde meilleur. Leonardo, Amazlife high tech
COLUMBUS DAY

La traditionnelle fête Américaine qui commémore la découverte officielle de l’Amérique par Christophe Colomb est fêté dans nombreuses villes américaines, mais principalement à Chicago, Los Angeles, Miami, New York et Philadelphie ou vivent nombreux Italo Américains. LE NAVIGATEUR CHRISTOPHE COLOMB Après de nombreuses études américaines, espagnoles et Italiennes, Christophe Collomb est avant tout un navigateur explorateur italien, connaissant bien le ciel, les étoiles et bien sûr la mer. Né à Gênes en Italie, il serait de parents Juifs venant d’Italie ou du Royaume d’Espagne ayant également des terres dans le sud de l’Italie, ce qui le rendrait Sépharade. Comme nombreux navigateur Italien Amerigo Vespucci, Vasco de Gama, Christophe Colomb serait de cette grande lignée de navigateurs Italiens. POLÉMIQUE SUR LE NOM DE CETTE TRADITION Nombreux américains, essentiellement des Wokistes considèrent la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb à la solde de la cour d’Espagne de Néfaste et de tragique. Nous allons dans la même direction concernant le génocide principalement par les Espagnoles, les conquistadores de nombreuses tributs indiennes. Nous allons aussi dans cette direction au sujet de la traite des noirs, essentiellement dirigé par des marchands d’esclaves Africains vendant des esclaves à des marchands européens dont pour la plupart étaient Français, Espagnoles, Irlandais ou Anglais… Si nous sommes d’accord avec ces grandes tragédies humaines, nous devons alors aller dans le sens ou l’explorateur Christophe Colomb n’a jamais entrepris de vouloir participer à un seul massacre d’indigènes, sa seule mission était de trouver l’Amérique ou l’Inde et D’y rapporter en tant que navigateur toutes les richesses trouvés sur ces nouvelles terres avec les caravelles appartenant au Royaume D’Espagne, Cette découverte y fera la richesse de l’Espagne, mais aussi l’esclavage des indigènes alors contraint de trouver de l’or pour les conquistadores. La polémique des wokistes Américains est donc de vouloir changer le nom de cette tradition en INDIGENOUS DAY, pour commémorer essentiellement la tragédie de nombreuses tributs d’indiens. Pareil en politique Américaine, les démocrates souhaitent le changement de nom et ainsi de l’histoire, Donald Trump assure vouloir garder la mémoire de ce navigateur Italien en ne changeant ni le nom ni cette tradition de fête Italo-américaines. LES ITALO-AMÉRICAINS Les italiens sont arrivés bien après les Irlandais et espagnoles, mais ils se sont très vite adapté, intégré et ont participé à la richesse de ce pays et de ce continent. De nombreux Italo-américains ont apporté de la lumière, de la joie, et ont enrichi ce pays. Nous pouvons parler de l’homme d’affaires Calabrais Rocco Commisso, des acteurs ou chanteurs Frank Sinatra, Madona, Robert de Niro, Francis Ford Coppola, Joe Pesci, et biensur Sylvester Stallone qui a incarné l’étalon Italian avec Rocky Balboa, mais aussi des politiciens comme De santis, Pompeo, Rudolph Giuliani, Franck Caprio, Charles joseph Bonaparte, Andrew Cuomo sans oublier ceux qui ont aussi marqué l’histoire du crime organisé aux États-Unis comme par exemple Al Capone. Aujourd’hui aux États-Unis d’Amérique, on mange davantage de pâtes que de cheeseburger, la cuisine Italienne est devenue la principale dans tout le pays mais aussi au Canada. Christophe Colomb pour nombreux reste un héros et un grand navigateur et surtout ne changeons pas l’histoire comme nombreux le souhaiterait, N’oublions jamais qu’il est né de parents Italiens à Gènes. Claire Franck, Amazlife
À L’OCCASION D’ART BASEL PARIS 2024.

Galerie Nathalie Obadia, Paris. DAVID REED, WHIRLPOOL, GALERIE NATHALIE OBADIA. La Galerie Nathalie Obadia est heureuse de présenter Whirlpool, la première exposition personnelle de l’artiste américain David Reed dans sa galerie à Paris. La Galerie Nathalie Obadia est heureuse de présenter Whirlpool, la première exposition personnelle de l’artiste américain David Reed dans sa galerie à Paris. Né en 1946 à San Diego, l’artiste quitte la côte californienne pour rejoindre New York, ville dans laquelle il vit et travaille depuis 1966. Après avoir fréquenté la Skowhegan School of Painting and Sculpture à Madison, et le Reed College à Portland, l’artiste poursuit ses études à la New York Studio School sous la tutelle de Milton Resnick et de Mercedes Matter, et participe à un séminaire dirigé par Philip Guston. Si l’influence de l’École de New York est reconnue par David Reed, ce sont des artistes tels que Richard Serra et Barry Le Va, mettant l’accent sur le processus et la physicalité dans leurs œuvres, qui lui ont permis de dépasser l’approche dominante de la peinture aux États-Unis. Selon l’artiste, la potentialité de la peinture réside dans sa capacité à rester ouverte aux autres médiums. La sculpture minimaliste, la photographie ou encore le cinéma – avec entre autres, les flicker films de Paul Sharits pour leur colorimétrie et effets d’optique – comptent parmi les influences précoces de David Reed. Durant plus de soixante ans de carrière prolifique, l’artiste développe une œuvre dans laquelle le processus, la lumière et la couleur tiennent une place centrale. La présente exposition rassemble des peintures récentes, donnant à voir les dernières réflexions de David Reed autour de la notion de ‘‘couleur optique’’ en peinture. Quelque chose de l’ordre du secret émane de ses œuvres : avec un nombre comme titre, elles se présentent comme le résultat de méthodes de réalisation qui demeurent mystérieuses. L’œil pénètre à l’intérieur de la structure interne de chaque tableau, et circule entre les couches de peinture fluides et légères. Celles-ci semblent presque se déplacer, chevauchant les différentes teintes éclairées par une lumière traversante. Une impression de mouvement s’opère dans ces peintures qui incarnent, comme le disait Mike Kelley “ce moment troublant où une chose inerte est sur le point de prendre vie”. Elles peuvent nous rappeler, poursuit Mike Kelley, “une voiture, un film qui brille comme une voiture ou une peinture du Bronzino.” Dans toutes ses peintures, David Reed parvient à capturer une lumière radieuse. Cette spécificité pourrait faire écho à l’enfance de David Reed qui, avant de rejoindre New York, grandit à Point Loma dans une maison moderniste conçue par son oncle architecte John August Reed. Elle pourrait également émaner des quelques temps passés à Malibu durant son adolescence, avec sa tante et son oncle O.P. Reed. L’artiste déclare que les plus grandes qualités de ses peintures découlent probablement des expériences de sa prime jeunesse : sa maison d’enfance à la lumière traversante, et les garages carrossiers aux “cabines de peinture magiques” du sud de la Californie. Ce modelage virtuose de la lumière rapproche également l’œuvre de David Reed de celles de peintres italiens des XVIe et XVIIe siècles, appartenant au maniérisme et au baroque. Parmi ses inspirations, David Reed cite le Tintoret, dont les compétences en teinture font de lui l’un des pionniers de la ‘‘couleur optique’’ en peinture. Il peignait à partir d’une peinture blanche au plomb qui, une fois entourée d’un glacis vert, donne une impression de lumière rosée.En réalité, cette lumière n’existe pas sur la surface peinte. Cet intérêt s’applique également aux oeuvres d’artistes plus contemporains tels que Simon Hantaï et notamment les Tabulas Lilas (1980). David Reed s’intéresse à son tour à cette particularité énigmatique, l’explorant dans l’ensemble des œuvres exposées. Cette exposition dévoile les dernières réflexions de l’artiste autour de la ‘‘couleur optique’’. David Reed souhaite que chacune de ses œuvres deviennent ‘’une expérience unique de la couleur, qui explore toutes ses spécificités’’déclare-t-il. Celui-ci procède à des contrastes simultanés, les enserrant parfois d’un gris qui tire vers le vert ou le rouge.Des éclats de couleurs s’étalent – jusqu’aux éclaboussures – faisant varier les teintes au centre de chaque composition.À travers cet ensemble inédit, l’artiste sonde ainsi certaines zones de notre cerveau insoupçonnées, dont il cherche non pas à comprendre les complexités, mais à activer les capacités. Car la peinture est cela : elle produit, active, touche quelque chose dans l’esprit qui n’est “ni une émotion, ni une pensée” dit David Reed. L’artiste fut très tôt l’observateur de ces effets produits par la peinture – comme Simon Hantaï avant lui, qui déclarait qu’au-delà “d’un profond désir de peindre, une interrogation dans la gestuelle s’imposait”. Ce que la peinture crée dans l’esprit pourrait être à l’origine de phénomènes cérébraux inexpliqués, tels ces oiseaux qui plongent dans le vide, les ailes repliées, le long des parois du Grand Canyon. David Reed se demande “qu’est-ce qui pousse quelqu’un à sauter d’un endroit élevé, au bord d’un précipice pour regarder en bas ?” Sep 6, 2024 – Oct 26, 2024 À l’occasion d’Art Basel Paris 2024, la Galerie Nathalie Obadia située au 91, rue du Faubourg Saint-Honoré – 75008 Paris, sera ouverte du lundi 14 au samedi 19 octobre, de 9h à 19h. Paris (Saint-Honoré) Rue du Faubourg Saint-Honoré 91 Paris France Les informations relatives à cet événement sont fournies par l’organisateur.
LE CHEF DES TERRORISTES DU HAMAS RETROUVÉ MORT.

SINWAR a été retrouvé mort, alors que le peuple Palestinien est affamé, il a été retrouvé mort avec de très grosse quantitée d’argents. Des explosifs et autres armes de guerres prêtes à être utilisé. Un tyran contre le peuple de Gaza et contre Israël en moins, en espérant que cela puisse permettre de changer les choses au Proche-Orient.