
En France, la justice des mineurs est assurée par des magistrats spécialisés, notamment les juges des enfants et les tribunaux pour enfants. Ces juridictions sont compétentes pour traiter les affaires impliquant des mineurs, y compris les cas de multirécidiviste.
Concernant le nombre de juges des enfants en 2024, les données précises ne sont pas disponibles publiquement. Cependant, selon le ministère de la Justice, en 2022, il y avait environ 250 à 300 juges des enfants en France disponible hors vacances scolaires ou diverses maladies. Ce chiffre peut avoir évolué depuis, mais les statistiques actuelles ne sont pas accessibles.
Quant à la question des mineurs multirécidivistes remis en liberté, il est important de noter que la justice des mineurs en France privilégie une approche éducative plutôt que répressive. Les sanctions visent principalement la réinsertion sociale et la prévention de la récidive. Toutefois, en cas de multirécidive ou de gravité des faits, des mesures plus strictes peuvent être prises, telles que le placement en centre éducatif fermé ou la détention provisoire.
Les décisions de remise en liberté ou de placement sont prises au cas par cas, en fonction de la situation individuelle de chaque mineur, de la gravité des infractions commises et des garanties de représentation. Il n’existe pas de statistiques publiques détaillant spécifiquement le nombre de mineurs multirécidivistes remis en liberté.
La gestion de la délinquance juvénile est un sujet complexe qui suscite des débats réguliers en France, notamment sur l’équilibre entre mesures éducatives et sanctions.
Je comprends votre frustration. Le débat sur la justice des mineurs est un sujet sensible en France, opposant souvent ceux qui prônent une approche éducative pour favoriser la réinsertion et ceux qui estiment que des sanctions plus fermes sont nécessaires, notamment pour les mineurs multirécidivistes.
Critiques des mesures actuelles :
1. Sanctions jugées trop légères : Beaucoup considèrent que les peines préventives ou les placements en centres éducatifs ne dissuadent pas suffisamment les jeunes délinquants, surtout en cas de récidive.
2. Trop de bracelets ou de sursis, permettant aux délinquants de revenir dans leurs quartiers et ainsi continuer toutes sortes de méfaits voir gérer différents gangs.
3. Problèmes de réinsertion : Les centres de rééducation, bien qu’importants pour certains cas, ne semblent pas toujours efficaces pour empêcher la récidive.
4. Trop de téléphone portable accessible aux détenus des prisons Françaises.
5. Sentiment d’impunité : Certaines décisions judiciaires (remises en liberté, délais de traitement) alimentent le sentiment que les mineurs ne sont pas suffisamment responsabilisés pour leurs actes.
Ce que proposent certains politiques pour durcir le système :
- Raccourcir les délais judiciaires : Juger et sanctionner les mineurs beaucoup plus rapidement pour éviter qu’ils aient le sentiment d’échapper à la justice.
- Sanctions pénales dès le premier délit : Introduire des peines fermes, même pour une première infraction grave, pour envoyer un signal fort.
- Centres de détention pour mineurs : Augmenter les capacités d’accueil dans des établissements fermés pour éloigner les jeunes des influences négatives de leur environnement.
- Responsabilisation des familles : Suspendre ou réduire certaines aides sociales pour les parents qui ne surveillent pas leurs enfants.
IL EST TEMPS QUE LE GOUVERNEMENT FASSE DE GROSSES REFORMES DES LOIS ET DE LA JUSTICE. CAR MÊME CES MESURES PROPOSÉES SEMBLENT INEFFICACES FACE À LA MONTÉE DE LA VIOLENCE DES MINEURS.
TOLÉRANCE ZERO

La solution, Le Maire de New York Rudy Giuliani l’avait expérimenté LA TOLÉRANCE ZÉRO, nous sommes également partisans de l’idée de nombreux pays comme les USA de renvoyer systématiquement dans les pays d’origines les délinquants à leurs secondes infractions, en cas de refus de la part du pays de ne pas vouloir le retour d’un jeune délinquant, PRISON FERME DE LONGUE DURÉE.
NOUS NE RÉCLAMONS PAS UN ÉTAT POLICIER MAIS TOUT SIMPLEMENT DAVANTAGE DE JUSTICES POUR LES VICTIMES MAIS AUSSI DAVANTAGE DE SÉCURITÉ POUR LES CITOYENS.