BERNARD ARNAULT ÉVOQUE LA DÉLOCALISATION DES SOCIÉTÉS FRANÇAISE CAR TROP D’IMPÔT EN FRANCE POUR LE MADE IN FRANCE.

L’homme le plus riche de France, l’homme qui à travers son empire du luxe (LVMH) lors de la présentation aux actionnaires des comptes du groupe LVMH nous a commenté la hausse que l’état souhaite appliquer pour les sociétés françaises faisant de gros profits. La vidéo nous en offre un extrait. Bernard Arnault, via le groupe LVMH, est l’un des plus gros employeurs privés en France. LVMH compte environ 40 000 employés en France sur un total mondial dépassant les 200 000 salariés. Ce chiffre inclut les ateliers de production, les boutiques, ainsi que les fonctions support. Concernant son discours sur la hausse des impôts, il met en avant un argument classique du patronat : une taxation trop forte pénaliserait la compétitivité et inciterait à la délocalisation. C’est un débat récurrent entre l’État, qui cherche à financer ses politiques publiques, et les grandes entreprises, qui veulent préserver leurs marges et leur capacité d’investissement. Son parallèle avec les États-Unis de Trump est intéressant, car ce pays adopte une stratégie inverse : baisse d’impôts et incitations pour attirer les entreprises. Ce modèle a ses avantages, mais aussi ses limites, notamment en termes de financement des infrastructures publiques. La question est donc de savoir si la surtaxation des grandes entreprises françaises risque vraiment de provoquer des délocalisations massives, ou si elles resteront en France pour des raisons stratégiques (savoir-faire, image de marque, proximité avec les clients). Par son dernier discours, Bernard Arnault prévoit déjà la possibilité que de nombreuses sociétés françaises se délocalisent pour payer beaucoup moins d’impôts et de taxe, ce qui aggraverait considérablement la courbe du chômage.
CETTE MUSIQUE QUE PERSONNE N’ENTEND

THÉÂTRE DES MATHURINS TOUS LES DIMANCHE 18H30 Une Clarisse Fontaine énergétique qui s’impose sur scène devant un public subjugué. Clarisse Fontaine incarne plusieurs rôles sur scène, passant d’une petite fille innocente à une femme libérée, explorant ainsi les différentes facettes de la violence domestique et ses conséquences psychologiques et sociales. La pièce vise à sensibiliser le public sur les mécanismes de la violence conjugale, notamment en mettant en lumière le profil des hommes pervers narcissiques et leurs comportements destructeurs. Elle souligne également que, bien que moins fréquent, les hommes peuvent aussi être victimes de violences conjugales. La rédaction d’Amazlife propose d’inviter des lecteurs à assister à la pièce et à partager leurs impressions, notamment des futurs mariés, afin de les sensibiliser à cette problématique avant qu’ils ne s’engagent dans une relation potentiellement toxique. Les statistiques mentionnées sont alarmantes : en 2022, environ 373 000 femmes en France ont été victimes de violences conjugales, et 122 femmes ont été tuées par leur conjoint en 2021, soit une augmentation de 20 % par rapport à 2020. Ces chiffres rappellent l’urgence de continuer à lutter contre ce fléau à travers des actions de prévention, de sensibilisation et de soutien aux victimes. La pièce de Clarisse Fontaine s’inscrit donc dans une démarche à la fois artistique et sociale, visant à briser le silence autour des violences conjugales et à offrir un espace de réflexion et de dialogue sur ce sujet difficile mais essentiel. ARRÊTONS LES VIOLENCES CONJUGALES C’est un appel à l’action, rappelant que chacun peut contribuer à changer les choses, que ce soit en soutenant les victimes, en éduquant les générations futures ou en participant à des initiatives comme cette pièce de théâtre. Cette pièce permettant à des femmes voulant se marier de comprendre quel genre de maris pourront-elles trouver et comment réagir face à certaines situations, cette pièce d’utilité publique surtout aux jeunes femmes prête à se marier, nous la conseillons vivement également pour son aspect artistique et une brillante et talentueuse Clarisse Fontaine. Leyo pour Amazlife Théatre
80 ANS DE LA LIBÉRATION DES CAMPS DE LA MORT ET D’AUSCHWITZ

Hier, le 27 janvier 2025, a eu lieu la commémoration du 80ᵉ anniversaire de la libération du camp de concentration et d’extermination nazi d’Auschwitz-Birkenau. La cérémonie principale s’est déroulée à Oswiecim, en Pologne, avec la participation d’environ 3 000 invités, dont des délégations de plus de 50 pays et une cinquantaine de survivants de l’Holocauste. Des survivants, tels que Leon Weintraub, Tova Friedman et Marian Turski, ont partagé leurs témoignages émouvants, mettant en garde contre la résurgence de l’antisémitisme et des idéologies d’extrême droite. Ils ont souligné l’importance de la vigilance et du courage pour contrer ces menaces contemporaines. Parmi les dignitaires présents figurait le roi Charles III du Royaume-Uni, qui a visité le camp et participé à une cérémonie commémorative, marquant ainsi la première visite d’un monarque britannique à Auschwitz. En parallèle, le prince William et la princesse Kate ont assisté à une cérémonie à Londres, où ils ont rencontré des survivants de l’Holocauste. Le prince William a évoqué les discussions qu’ils ont eues avec leur fils aîné, le prince George, sur l’Holocauste, soulignant l’importance de l’éducation pour les générations futures. En France, diverses manifestations ont eu lieu pour marquer cette journée internationale à la mémoire des victimes de la Shoah. La Fondation pour la Mémoire de la Shoah a recensé plusieurs événements commémoratifs à travers le pays, reflétant l’importance de cette date dans le devoir de mémoire collectif. Ces commémorations ont rappelé la nécessité de se souvenir des atrocités passées pour prévenir leur répétition et de lutter activement contre l’antisémitisme et la haine sous toutes leurs formes. LE RÔLE DES SOCIALISTES ET DE LA DROITE PENDANT LA SHOAH. 1. Les socialistes pendant la Shoah Communistes dans la Résistance : Engagement dans la Résistance : Une grande partie des militants surtout communiste se sont opposés au régime de Vichy et ont rejoint la Résistance. Des figures comme Jean Moulin, ancien préfet proche des socialistes, ont joué un rôle crucial dans l’organisation de la Résistance unifiée. Les communistes Français se sont engagé dans la résistance pour se battre contre l’Allemagne en guerre avec la Russie de Staline. Groupes résistants : Beaucoup de communistes ont rejoint des réseaux comme les Francs-Tireurs et Partisans (FTP) ou le Mouvement Libération-nord, qui regroupait des résistants issus des classes populaires et des milieux ouvriers. Solidarité avec les persécutés : Des socialistes ont aidé des Juifs à se cacher ou à fuir. Léon Blum, leader socialiste et ancien Premier ministre, déporté à Buchenwald en 1943, a refusé de collaborer avec les nazis malgré des pressions. Socialistes sous Vichy : Exclusions et opportunisme : nombreux socialistes de carrière ont soutenu Vichy, par opportunisme ou par conviction. Les principaux leaders politiques de Vichy était membre des cartels divers socialistes de Gauches ou proche Laval, Bousquet, Marechal Pétain et nombreux autres. La droite pendant la Shoah Droite collaborationniste : Adhésion à Vichy : Une partie minoritaire de la droite conservatrice et nationaliste a soutenu le régime de Vichy, souvent par anticommunisme et antirépublicanisme ou tout simplement par idéologie antisémite. Pierre Laval (socialiste et principal collaborateur du maréchal Pétain, figures de la droite autoritaire, ont orchestré la collaboration avec l’Allemagne, notamment dans la déportation des Juifs. Les lois antisémites de Vichy (Statut des Juifs de 1940 et 1941) ont été promulguées sans pression allemande. Partis et groupes extrémistes Des groupes d’extrême droite, comme la Milice française dirigée par Joseph Darnand, ont collaboré activement avec les nazis, traquant les résistants et les Juifs. Droite résistante : Une grande partie de la droite s’est opposée à Vichy et à l’Occupation. Des figures comme Charles de Gaulle ou Georges Bidault ont représenté une droite républicaine et patriotique dans la Résistance. Certains catholiques de droite, en désaccord avec l’antisémitisme et les dérives du régime, ont aidé à sauver des Juifs. Par exemple, l’abbé Pierre, proche de la droite chrétienne, a joué un rôle actif dans la protection des persécutés. RÔLE DE LA POLICE ET DE LA GENDARMERIE FRANÇAISE La police et la gendarmerie françaises ont joué un rôle crucial dans l’organisation et l’exécution des rafles de Juifs à Paris, à Nice et ailleurs sous l’Occupation. Sous le régime de Vichy et en collaboration avec les forces d’occupation nazies, ces institutions ont participé activement à la persécution des populations juives, bien souvent sans coercition directe des Allemands. La police et les rafles à Paris La Rafle du Vél’d’Hiv (16-17 juillet 1942) : À Paris, la police française a organisé la plus grande arrestation massive de Juifs sur le sol français. Sur ordre des autorités de Vichy, environ 9 000 policiers français ont été mobilisés pour arrêter 13 152 Juifs, dont 4 115 enfants, qui n’étaient initialement pas demandés par les Allemands. Ces arrestations ont conduit à leur internement dans le Vélodrome d’Hiver, avant leur déportation vers les camps de Drancy, puis Auschwitz. Cette opération a été réalisée presque exclusivement par la police française, sans intervention directe de la Gestapo. Rôles spécifiques La Préfecture de Police de Paris, sous René Bousquet et Émile Hennequin, a planifié ces opérations. Des listes de Juifs à arrêter avaient été préparées à l’avance grâce aux fichiers recensant les Juifs, créés par l’administration française. La police et les rafles à Nice 1. Contexte local : Nice se trouvait sous occupation italienne fachiste jusqu’en septembre 1943, période durant laquelle les Italiens ont souvent protégé les Juifs, empêchant les arrestations. Après l’occupation allemande en septembre 1943, la situation a changé, et la police française a collaboré activement avec les Allemands pour les arrestations de juifs de tout âge. 2. Participation aux arrestations : Les forces de police françaises ont aidé à identifier, localiser et arrêter des Juifs, même dans des lieux où ils avaient cherché refuge, comme dans des couvents ou des villages reculés. La gendarmerie a souvent été mobilisée pour des opérations en zone rurale. 3. Rafles significatives : Plusieurs rafles ont eu lieu, comme celle du 26 mai 1944, où des dizaines de Juifs ont été arrêtés
LA JUSTICE TROP LENTE, LAXISTE ET COMPLÈTEMENT AVEUGLE FACE À LA DÉLINQUANCE DES MINEURS.

En France, la justice des mineurs est assurée par des magistrats spécialisés, notamment les juges des enfants et les tribunaux pour enfants. Ces juridictions sont compétentes pour traiter les affaires impliquant des mineurs, y compris les cas de multirécidiviste. Concernant le nombre de juges des enfants en 2024, les données précises ne sont pas disponibles publiquement. Cependant, selon le ministère de la Justice, en 2022, il y avait environ 250 à 300 juges des enfants en France disponible hors vacances scolaires ou diverses maladies. Ce chiffre peut avoir évolué depuis, mais les statistiques actuelles ne sont pas accessibles. Quant à la question des mineurs multirécidivistes remis en liberté, il est important de noter que la justice des mineurs en France privilégie une approche éducative plutôt que répressive. Les sanctions visent principalement la réinsertion sociale et la prévention de la récidive. Toutefois, en cas de multirécidive ou de gravité des faits, des mesures plus strictes peuvent être prises, telles que le placement en centre éducatif fermé ou la détention provisoire. Les décisions de remise en liberté ou de placement sont prises au cas par cas, en fonction de la situation individuelle de chaque mineur, de la gravité des infractions commises et des garanties de représentation. Il n’existe pas de statistiques publiques détaillant spécifiquement le nombre de mineurs multirécidivistes remis en liberté. La gestion de la délinquance juvénile est un sujet complexe qui suscite des débats réguliers en France, notamment sur l’équilibre entre mesures éducatives et sanctions. Je comprends votre frustration. Le débat sur la justice des mineurs est un sujet sensible en France, opposant souvent ceux qui prônent une approche éducative pour favoriser la réinsertion et ceux qui estiment que des sanctions plus fermes sont nécessaires, notamment pour les mineurs multirécidivistes. Critiques des mesures actuelles : 1. Sanctions jugées trop légères : Beaucoup considèrent que les peines préventives ou les placements en centres éducatifs ne dissuadent pas suffisamment les jeunes délinquants, surtout en cas de récidive. 2. Trop de bracelets ou de sursis, permettant aux délinquants de revenir dans leurs quartiers et ainsi continuer toutes sortes de méfaits voir gérer différents gangs. 3. Problèmes de réinsertion : Les centres de rééducation, bien qu’importants pour certains cas, ne semblent pas toujours efficaces pour empêcher la récidive. 4. Trop de téléphone portable accessible aux détenus des prisons Françaises. 5. Sentiment d’impunité : Certaines décisions judiciaires (remises en liberté, délais de traitement) alimentent le sentiment que les mineurs ne sont pas suffisamment responsabilisés pour leurs actes. Ce que proposent certains politiques pour durcir le système : Raccourcir les délais judiciaires : Juger et sanctionner les mineurs beaucoup plus rapidement pour éviter qu’ils aient le sentiment d’échapper à la justice. Sanctions pénales dès le premier délit : Introduire des peines fermes, même pour une première infraction grave, pour envoyer un signal fort. Centres de détention pour mineurs : Augmenter les capacités d’accueil dans des établissements fermés pour éloigner les jeunes des influences négatives de leur environnement. Responsabilisation des familles : Suspendre ou réduire certaines aides sociales pour les parents qui ne surveillent pas leurs enfants. IL EST TEMPS QUE LE GOUVERNEMENT FASSE DE GROSSES REFORMES DES LOIS ET DE LA JUSTICE. CAR MÊME CES MESURES PROPOSÉES SEMBLENT INEFFICACES FACE À LA MONTÉE DE LA VIOLENCE DES MINEURS. TOLÉRANCE ZERO La solution, Le Maire de New York Rudy Giuliani l’avait expérimenté LA TOLÉRANCE ZÉRO, nous sommes également partisans de l’idée de nombreux pays comme les USA de renvoyer systématiquement dans les pays d’origines les délinquants à leurs secondes infractions, en cas de refus de la part du pays de ne pas vouloir le retour d’un jeune délinquant, PRISON FERME DE LONGUE DURÉE. NOUS NE RÉCLAMONS PAS UN ÉTAT POLICIER MAIS TOUT SIMPLEMENT DAVANTAGE DE JUSTICES POUR LES VICTIMES MAIS AUSSI DAVANTAGE DE SÉCURITÉ POUR LES CITOYENS.