DONALD TRUMP : UN MONDE COUPÉ EN DEUX

Donald Trump cristallise les passions comme nul autre leader politique. Il n’y a pas de juste milieu : on le soutient ou on le combat. Ce phénomène dépasse sa seule personne et traduit une fracture profonde entre deux visions du monde. D’un côté, ses partisans voient en lui un homme du peuple, un opposant au « Deep State » et aux élites qui gouvernent depuis l’ombre. De l’autre, ses détracteurs le considèrent comme un danger, un populiste qui menace les institutions et l’ordre établi. Mais une chose est certaine : quoi qu’il fasse, les médias opposés aux républicains ne lui laissent aucun répit. Chaque prise de parole, chaque décision, chaque dossier qu’il tente d’ouvrir devient un prétexte pour l’attaquer. Un Combat sur Tous les Fronts, des dossiers explosifs Trump ne mène pas seulement une bataille électorale. Il affronte des dossiers explosifs où les démocrates ont imposé leur narration. Ukraine : Lorsqu’il parlait de désengagement et de négociation, il était accusé de faire le jeu de la Russie. Aujourd’hui, Biden envoie des milliards sans perspective de paix, mais la presse le soutient. Covid : Trump a été critiqué pour avoir mis en doute le narratif officiel. Pourtant, les révélations récentes sur les origines du virus et la gestion de la crise donnent raison à de nombreux sceptiques. Epstein : Un scandale mondial qui implique des personnalités influentes, mais les médias préfèrent détourner l’attention de certaines figures politiques. Gaza : Biden a discrètement débloqué 3 milliards de dollars, une partie pouvant bénéficier indirectement au Hamas, tandis que Trump, en soutenant Israël, était qualifié d’extrémiste. Kennedy et les secrets d’État : Robert F. Kennedy Jr. laisse entendre qu’il pourrait dévoiler des affaires sensibles, ce qui pourrait bouleverser l’équilibre du pouvoir. Sur tous ces sujets, les mêmes opposants se dressent contre Trump, non pas par souci de justice, mais pour protéger un système bien en place. Vers une Justice ou un Système Verrouillé ? Trump ne cache pas son intention de remettre en cause l’ordre établi et de poursuivre ceux qu’il accuse de manipulation et de corruption. Mais chaque tentative de sa part se heurte à une machine médiatique et judiciaire qui semble prête à tout pour le neutraliser. Les institutions qui se veulent garantes de la démocratie sont-elles encore indépendantes, ou sont-elles devenues des armes politiques ? La Presse américaine ou mondiale n’est Plus Neutre Autrefois, le rôle du journalisme était d’informer, de confronter les faits et de questionner les puissants. Aujourd’hui, la presse semble choisir ses combats et imposer des vérités à géométrie variable. Le traitement de Trump en est la preuve éclatante. Ce n’est plus une question d’objectivité, mais une guerre idéologique où les médias ne sont plus des spectateurs, mais des acteurs militants. Trump a toujours défendu une politique économique et internationale axée sur les intérêts des États-Unis avant tout. Son approche se caractérise par plusieurs axes majeurs : 1- Économie et argent public Depuis son premier mandat (2017-2021), Trump a prôné une réduction des dépenses publiques, notamment en limitant les aides sociales et en coupant les budgets de certaines agences fédérales. Cependant, ses baisses d’impôts ont aussi creusé le déficit public. Il a privilégié une approche libérale, misant sur une croissance économique forte pour compenser ces pertes de recettes fiscales. 2- Production et consommation nationale Le slogan “America First” a conduit Trump à instaurer des mesures protectionnistes, comme les taxes sur l’acier et l’aluminium, ainsi que des sanctions économiques contre la Chine pour favoriser l’industrie américaine. Ces politiques ont incité certaines entreprises à rapatrier leur production aux États-Unis, mais elles ont aussi généré des tensions commerciales. 3- Politique étrangère et otages américains Trump a mis en avant son rôle dans la libération de plusieurs otages détenus à l’étranger, notamment en Corée du Nord et en Iran. Sa diplomatie, souvent basée sur une approche transactionnelle et médiatique, a abouti à certains succès, bien qu’elle ait aussi été critiquée pour son manque de constance. 4- Guerre en Ukraine et terres rares Trump critique le soutien militaire massif des États-Unis à l’Ukraine, estimant que l’argent américain devrait être utilisé pour les Américains. Il affirme qu’il pourrait négocier une fin rapide du conflit, sans pour autant préciser de plan concret. Concernant les terres rares (essentielles aux industries technologiques et militaires), les États-Unis cherchent depuis longtemps à réduire leur dépendance à la Chine. Si Trump revenait au pouvoir, il pourrait renforcer les initiatives visant à exploiter davantage les ressources minières américaines ou à sécuriser des accords avec d’autres pays. CONCLUSION Trump applique une politique où les intérêts économiques et stratégiques des États-Unis passent avant toute autre considération. S’il insiste sur la souveraineté économique et la protection des travailleurs américains, ses choix génèrent souvent des tensions internationales et internes. Reste à voir si, dans un éventuel second mandat, il poursuivrait ces objectifs avec la même approche, notamment face aux enjeux mondiaux actuels. DONALD TRUMP EST AVANT TOUT PATRIOTE ET AGIT POUR LES AMÉRICAINS Si on considère qu’un patriote est quelqu’un qui défend avant tout les intérêts de son pays, alors oui, Trump peut être perçu comme un patriote dans la mesure où il met l’Amérique en priorité dans ses décisions. Sa politique “America First” vise à renforcer l’économie américaine, à limiter l’influence étrangère et à réduire l’implication des États-Unis dans les conflits extérieurs. Cependant, cette approche a aussi ses critiques : certains estiment que son protectionnisme nuit aux relations internationales, que son retrait de certains accords fragilise l’influence des États-Unis et que sa vision court-termismes peut avoir des conséquences négatives sur le long terme. Avis d’Amazlife Trump est sans aucun doute un président qui place les États-Unis avant tout, ce qui peut être vu comme du patriotisme. Il suscite des réactions extrêmes, et beaucoup de critiques viennent souvent de ceux qui ne comprennent pas les préoccupations et les besoins des Américains qui l’ont élu. Les débats sur sa politique de fermeté, notamment contre le terrorisme, et son approche sur d’autres dossiers restent au cœur des discussions, et il est clair que ses partisans voient
DONALD TRUMP MENACE LES MOLLAH

Tout est dit dans cette courte vidéo, Donald Trump prévient l’Iran et les Mollahs, qui en veut à ma vie en paiera les conséquences, tout est déjà programmé et des responsables sont déjà avertis. Cela dit, nombreux Républicains autour de lui, comme son Vice-Président qui prendrait le relais, est probablement plus à droite que l’actuel Président. Cela serait une très mauvaise idée de vouloir s’en prendre à l’actuel locataire de la Maison-Blanche. Chiara pour Amazlife.fr
ROBERT F KENNEDY JUNIOR NOMMÉE SECRÉTAIRE DE LA SANTÉ ET AUX SERVICES SOCIAUX

UNE NOMINATION QUI FAIT TREMBLER Oui, la nomination de Robert F. Kennedy Jr. au poste de secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS) dans l’administration Trump peut effectivement inquiéter de nombreux acteurs politiques et industriels, notamment dans le secteur pharmaceutique. Une menace politique pour les démocrates Souhaitant que toutes les vérités concernant le Covid, de son vaccin obligatoire, des commandes à coup de millions de dollars du gouvernement Biden de l’antidote, ainsi que toute sa gestion politique, associé à toute l’industrie pharmaceutique et de nombreux journalistes monte à lumière et que le peuple Américain soit au courant de toute cette affaire. RFK Jr. a un nom puissant en politique et, bien qu’il soit issu d’une famille démocrate, il est aujourd’hui un allié de Trump sur certains sujets. Son entrée au gouvernement pourrait renforcer le populisme républicain et séduire des électeurs indépendants ou démocrates modérés, ce qui affaiblirait les démocrates lors des prochaines élections. Il pourrait aussi devenir une figure clé de la campagne de Trump, accentuant la pression sur les démocrates en vue de 2028. Ses positions contre l’industrie pharmaceutique. RFK Jr. est un fervent critique de l’industrie pharmaceutique, qu’il accuse d’abuser de son pouvoir au détriment de la santé publique. Il a dénoncé les liens entre les agences de santé et les laboratoires pharmaceutiques, appelant à une plus grande transparence et à une réduction de l’influence des lobbys. Son scepticisme sur la vaccination. Il est connu pour ses prises de position controversées sur les vaccins, dénonçant des conflits d’intérêts et plaidant pour plus de recherches indépendantes. Son arrivée au HHS pourrait remettre en question certaines politiques de vaccination aux États-Unis, ce qui irait à l’encontre des intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques. Un potentiel bouleversement des réglementations En tant que secrétaire au HHS, il a la capacité d’influencer la réglementation sur les médicaments, les essais cliniques et l’approbation de nouveaux traitements. Il pourrait mettre en place des réformes visant à limiter l’influence des laboratoires sur la FDA et le CDC. Les tensions avec le monde politique Sa nomination a été vivement critiquée par les démocrates, mais aussi par une petite partie des républicains, plus proches des intérêts industriels. Cela dit, un seul républicain sur 53 à voter contre sa nomination au poste de secrétaire d’État à la Santé et aux services sociaux. Il pourrait rencontrer des blocages et des résistances au sein même de l’administration Trump s’il tente de trop bouleverser le statu quo. Conclusion d’Amazlife L’arrivée de RFK Jr. à la tête du ministère de la Santé et des Services sociaux représente un défi majeur pour le secteur pharmaceutique et certains responsables politiques qui entretiennent des liens étroits avec cette industrie. Son mandat pourrait conduire à des affrontements avec les lobbys et à des réformes profondes, mais aussi à des arrestations, si des mensonges, ont eut lieu contre le peuple Américain. Voire à une instabilité dans les politiques de la santé publique. Reste à voir jusqu’où il décidera de mener cette danse dans une envie totale de vérité. Oui, il est probable que les démocrates de l’administration Biden s’inquiètent de la nomination de Robert F. Kennedy Jr. au poste de secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS) sous l’administration Trump. Plusieurs raisons expliquent cette inquiétude. Nombreux essaieront de le freiner. En attendant, grâce à 52 voix contre 48, il obtient le feu vert pour ce poste clé à la Santé, mais aussi pour faire monter à la lumière toutes les vérités. Seule l’avenir proche nous dévoilera deux ans de Covid et de sa gestion Américaine mais aussi Internationale. Leo pour Amazlife Actualité
DISCOURS DE J.D VANCE A MUNICH.

Diplomatie internationale Premier discours du vice-président américain en Europe, Vance s’est exprimé vendredi au premier jour de la Conférence de la sécurité de Munich. Un discours durant lequel il appelle les Européens à « changer de cap et commencer à montrer les muscles. Nombreux dirigeants Européens, mais surtout Français en total désaccord avec ce discours. Lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, le vice-président américain J.D. Vance a prononcé un discours critiquant les politiques européennes, en se concentrant sur des sujets tels que la liberté d’expression, la gestion de l’immigration et la marginalisation des partis politiques identitaires. Il a exprimé sa préoccupation quant à ce qu’il considère comme une dérive des élites européennes, affirmant que « la principale menace pour l’Europe vient de l’intérieur » . Critiques de J.D. Vance envers l’Europe : Liberté d’expression : Vance a dénoncé ce qu’il perçoit comme une suppression de la liberté d’expression en Europe, citant des exemples où des individus ont été sanctionnés pour des opinions divergentes. Gestion de l’immigration : Il a critiqué la manière dont l’Europe gère l’immigration, suggérant que les politiques actuelles ne reflètent pas les préoccupations des citoyens européens. Marginalisation des partis identitaires : Vance a évoqué l’exemple de la Roumanie, où le premier tour de l’élection présidentielle a été annulé après que le candidat d’extrême droite, Calin Georgescu, a obtenu plus de 20 % des voix. Il a qualifié cette décision de réponse aux « faibles soupçons d’une agence de renseignement » et a dénoncé la pression exercée par les voisins européens de la Roumanie . Rencontre avec Volodymyr Zelensky : En marge de la conférence, J.D. Vance a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Les deux dirigeants ont qualifié leur discussion de « bonne conversation » et ont convenu de poursuivre les échanges. Vance a réaffirmé l’engagement des États-Unis envers la souveraineté de l’Ukraine, déclarant que « tout sera sur la table », y compris les moyens de pression militaire, dans les futures négociations avec la Russie . Analyse des critiques de Vance : Les points soulevés par J.D. Vance peuvent être analysés sous deux angles : ✅ Point de vue favorable aux critiques de Vance : Souveraineté nationale : Certains estiment que les politiques européennes en matière d’immigration et de liberté d’expression compromettent la souveraineté des nations et les valeurs traditionnelles. Liberté d’expression : La suppression de certaines opinions pourrait être perçue comme une atteinte aux principes démocratiques fondamentaux. ❌ Point de vue défavorable aux critiques de Vance : Protection des droits : Les politiques européennes visent à protéger les droits de tous les citoyens, y compris les minorités, et à prévenir les discours de haine, cela dit Vance ainsi que Trump souhaite que l’Europe commence à se muscler… Stabilité sociale : La gestion de l’immigration et la régulation de certaines expressions publiques sont considérées comme nécessaires pour maintenir la cohésion sociale et la sécurité. En conclusion, les critiques de J.D. Vance envers l’Europe reflètent des divergences philosophiques et politiques sur des questions sensibles. Le débat autour de ces sujets est complexe et nécessite une analyse approfondie des valeurs démocratiques, des droits individuels et de la souveraineté nationale, mais le gouvernement de Trump nous ouvre peut-être la voie ou l’exemple sur une nouvelle politique que nombreux pays Européens devraient suivre. Leo pour Amazlife Actualité
VOICI LES DIFFÉRENTES MESURES DE DONALD TRUMP EN SEULEMENT DEUX SEMAINES

Depuis son investiture le 20 janvier 2025, le président Donald Trump a signé un nombre significatif de décrets présidentiels, reflétant ses priorités politiques pour son second mandat. Voici une liste des principaux décrets signés à ce jour : Abrogation des décrets jugés nuisibles : Annulation de plusieurs décrets de l’administration précédente. Rétablissement de la liberté d’expression et fin de la censure fédérale : Mesures visant à protéger la liberté d’expression et à mettre fin à la censure par des agences fédérales. Fin de l’utilisation politique des agences fédérales : Initiatives pour empêcher l’utilisation des agences fédérales à des fins politiques. Priorité à l’Amérique dans les accords environnementaux internationaux : Retrait ou renégociation de certains accords environnementaux internationaux pour privilégier les intérêts américains. Application de la loi sur la protection des Américains contre les applications contrôlées par des adversaires étrangers à TikTok : Mesures spécifiques concernant TikTok en raison de préoccupations de sécurité nationale. Retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) : Fin de la participation américaine à l’OMS. Rétablissement de la responsabilité au sein de la fonction publique fédérale : Réformes pour améliorer la responsabilité des fonctionnaires fédéraux. Tenue des anciens responsables gouvernementaux responsables de l’ingérence électorale et de la divulgation inappropriée d’informations sensibles : Mesures pour sanctionner les ingérences électorales et les fuites d’informations. Clarification du rôle de l’armée dans la protection de l’intégrité territoriale des États-Unis : Directives sur l’utilisation de l’armée pour protéger les frontières américaines. Libération du potentiel énergétique américain : Initiatives pour augmenter la production d’énergie nationale. Réalignement du programme d’admission des réfugiés aux États-Unis : Modifications des politiques d’admission des réfugiés. Protection de la signification et de la valeur de la citoyenneté américaine : Mesures pour renforcer la valeur de la citoyenneté américaine. Sécurisation des frontières : Renforcement des mesures de sécurité aux frontières. Rétablissement de la peine de mort et protection de la sécurité publique : Réintroduction de la peine de mort pour certains crimes fédéraux. Déclaration d’une urgence nationale en matière d’énergie : Reconnaissance d’une crise énergétique nationale. Réévaluation et réalignement de l’aide étrangère des États-Unis : Révision des politiques d’aide étrangère. Protection du peuple américain contre l’invasion : Mesures pour protéger contre les menaces extérieures. Libération du potentiel extraordinaire des ressources de l’Alaska : Initiatives pour exploiter les ressources naturelles de l’Alaska. Protection des États-Unis contre les terroristes étrangers et autres. POSITIONS AMÉRICAINES SUR LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE Depuis son investiture le 20 janvier 2025, le président Donald Trump a signé plusieurs décrets ayant un impact direct sur Israël : Levée des restrictions sur les livraisons d’armes à Israël : Le président Trump a supprimé toutes les limitations concernant la fourniture d’armes à Israël, y compris des bombes de 1 000 kg, affirmant ainsi le soutien des États-Unis à la défense israélienne. Suspension de l’aide américaine à l’UNRWA : Un décret a été signé pour interrompre l’aide des États-Unis à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), modifiant ainsi la politique américaine envers les réfugiés palestiniens. Annulation des sanctions contre les pionniers juifs de Judée-Samarie : Le président Trump a annulé les sanctions imposées par l’administration précédente aux pionniers juifs en Judée-Samarie, modifiant ainsi la position américaine sur les implantations israéliennes dans ces territoires. Rétablissement des sanctions contre la Cour pénale internationale (CPI) : Un décret a été signé pour rétablir les sanctions contre la CPI, annulant ainsi la levée de ces sanctions par l’administration précédente. EXPULSIONS DE CITOYENS EN POSSESSION DE VISAS AMÉRICAINS Expulsion des détenteurs de visas soutenant des idéologies haineuses : Le président Trump a ordonné l’expulsion des personnes titulaires de visas qui soutiennent des idéologies haineuses, le terrorisme ou qui représentent une menace pour la sécurité nationale, incluant ceux impliqués dans des manifestations pro-Hamas ou des collectes de fonds pour des organisations terroristes. Pour les Américains en revanche, des amendes et des peines de prisons pour ceux qui inciteraient à la haine contre un pays allié et amis des USA. Terminé les manifestations dans les campus, mais surtout nombreux étudiants pourront enfin retourner étudier sans souci dans les différentes universités américaines ayant connu des manifestations haineuses ou des élèves n’avaient pas l’accès à des cours. POLITIQUE CONCERNANT LE CONFLIT RUSSO-UKRAINIEN. Depuis sa réélection en 2024, le président Donald Trump a adopté une position distincte concernant le conflit en Ukraine. Il a proposé que l’aide militaire et économique des États-Unis soit conditionnée à l’accès aux ressources en terres rares de l’Ukraine, essentielles pour les industries technologiques. Cette approche vise à équilibrer le soutien américain par des avantages stratégiques pour les États-Unis. Par ailleurs, Trump a exprimé son intention de négocier rapidement une fin au conflit russo-ukrainien, affirmant pouvoir parvenir à un accord en une journée. Il a également critiqué les alliés européens pour leur soutien financier insuffisant à l’Ukraine, suggérant que l’Europe devrait assumer une part plus importante de l’aide. Avec les pays alliés de l’OTAN En matière de politique étrangère, Trump a indiqué qu’il n’interviendrait pas pour défendre les alliés de l’OTAN en Europe s’ils ne respectaient pas l’objectif de l’alliance de consacrer 2 % de leur PIB à la défense, déclarant qu’il “encouragerait” la Russie à “faire ce qu’elle veut” dans de tels cas. Ces positions reflètent une approche transactionnelle de la politique étrangère, où le soutien américain est conditionné à des avantages tangibles pour les États-Unis, tout en appelant les alliés à assumer davantage de responsabilités. TAKS FORCE CONTRE LE RACISME ET L’ANTISÉMITISME. Création d’une task force contre l’antisémitisme : Le 3 février 2025, le ministère de la Justice a mis en place une task force inter-agences pour combattre l’antisémitisme, en se concentrant principalement sur le harcèlement antisémite dans les écoles et universités. Cette initiative fait suite à un décret présidentiel menaçant d’expulsion les ressortissants étrangers impliqués dans des manifestations pro-jihadistes et de révocation de visas étudiants pour les sympathisants du Hamas. CONTRE LES CARTELS DE LA DROGUE Invocation
MINISTÈRE DE L’EFFICACITÉ DE L’ADMINISTRATION TRUMP DIRIGE PAR ELON MUSK

Pendant que nos élus sont concentrés sur des sujets mineurs Pendant que le Gouvernement français et nos parlementaires se déchirent sur comment réagir avec les diverses tensions avec le gouvernement Algérien ou sur le vote du budget voir tout simplement pour ceux qui veulent éviter une énième censure du gouvernement par différents députés ne pensant principalement qu’à ça et donc plus de temps pour s’intéresser à la nation France. AUX USA EN REVANCHE Regardons le travail de réduction des dépenses et d’économies réalisé outre Atlantique en uniquement une petite dizaine de jours grâce à l’agence d’économie d’état réalisée et faite par Elon Musk.et qui sera dirigé , par le “Department of Government Efficiency” (DOGE) sous la responsabilité de l’homme le plus riche du monde. En moins de dix jours, ce nouveau ministère de l’Efficacité de l’administration Trump dirigé par Elon Musk a réalisé une coupe budgétaire de 501 millions de dollars sur des dépenses qui encourageaient jusqu’ici l’immigration vers les USA. Mais aussi de l’ordre du milliard pour des dépenses inconnues. La communication du Ministère fait état de nombreuses autres coupes budgétaires considérées comme illégales et inutiles, injustes, car ne servait que les intérêts de certains et surtout inefficaces pour le bien du peuple Américain et de la nation américaine. Voici des exemples de gaspillage de l’Économie Américaine 45 millions de dollars de bourses d’études en Birmanie, 1,2 milliard de dollars de récompenses à des bénéficiaires inconnus, 520 millions de dollars pour des investissements pilotés par des “consultants” en Afrique, 50 millions de dollars pour l’achat de préservatifs à destination de Gaza. Il existe plein d’autres dépenses inutiles que l’État Américain va décider de mettre fin. Plus de deux milliards de dollars d’économie par an également décidés par le gouvernement trump. sur le retrait américain et le refus de payer le terrorisme. En se retirant de l’Oms de la santé, arrêt immédiat des aides à cet organisme mondial. Économie 500 millions par an environ Retrait des aides à l’organisation géré par des terroristes à Gaza.L’UNWRA Économie 500 millions par an environ Le gouvernement de Trump ne financera pas non plus les terroristes du Hamas qui sous le gouvernement de Biden 100 millions étaient donné tous les ans en espérant que cette aide soit reversé à la population de Gaza. Économie 100 millions par an. Diminution de l’aide US à l’Ukraine, nous ne connaissons pas encore le montant décidé de la prochaine aide. N’oublions pas non plus les aides indirectes faites par le gouvernement Biden également à la République d’Iran. Comme par exemple le dégel de 6 milliards de dollars. Toutes ces économies directes pourront permettre d’aider nombreux américains dans le besoin dormant aujourd’hui dans les nombreuses rues américaines Le DOGE permet d’économiser déjà 1 milliard de dollars par jour aux États-Unis, avec un objectif à 3 milliards par jour. Il y a en Amérique depuis l’élection de Donald Trump et le très médiatique Elon Musk, l’homme le plus riche de la planète un courage et une volonté de réussite à faire remonter les USA comme grande puissance mondiale, Nous cherchons encore des candidats pour le faire en Europe, mais aussi en France, Sarah Knafo pourrait être une candidate. Trump fait ce qu’il dit et surtout annonce lors de ses discours politiques dans l’intérêt du peuple américain. Nous espérons de notre côté que le duo Trump et Elon Musk ouvre la voie, à nous Français et l’Europe de Bruxelles à aller dans la même direction, car des dépenses inutiles sont effectuées chaque jour. Rendez-vous fin 2025 pour comprendre l’efficacité de cette agence en espérant que l’Europe et la France suivent l’exemple Américain et de duo de choc Elon Musk / Donald Trump. Leo pour Amazlife Actualité
ROBERT F. KENNEDY

Une audience très attendue Lors de son audition devant le Sénat américain, Robert F. Kennedy Jr. a tenté de nuancer son image, notamment sur les sujets sensibles comme les vaccins et l’avortement. Voici les principaux points à retenir : Défense sur la question des vaccins Il a affirmé : “Je ne suis pas antivaccin”, malgré ses prises de position passées mettant en doute la sécurité de certains vaccins. Il a insisté sur son soutien à la liberté de choix en matière de vaccination, ce qui n’a pas convaincu tous les sénateurs. Pression des démocrates Les sénateurs démocrates ont vivement critiqué son passé militant contre la vaccination, rappelant ses déclarations polémiques et son rôle dans la désinformation scientifique. Clarification sur l’avortement Il a déclaré qu’il respecterait la loi en vigueur aux États-Unis sur le droit à l’avortement, une tentative de rassurer les élus modérés. Une audition tendue L’audience a révélé un clivage net : les républicains l’ont en grande partie soutenu, tandis que les démocrates ont exprimé leur scepticisme. Il a semblé chercher à adoucir son image pour obtenir la confirmation de sa nomination. L’issue du vote au Sénat reste incertaine, mais son audition a montré qu’il reste une figure controversée. Oui, lors de son audition devant le Sénat américain, Robert F. Kennedy Jr. a maintenu certaines de ses critiques contre l’industrie pharmaceutique, bien qu’il ait tenté d’adopter un ton plus mesuré. Voici les principales accusations qu’il a formulées ou sous-entendues : Collusion entre l’État et les laboratoires pharmaceutiques. Il a dénoncé l’influence excessive des grandes entreprises pharmaceutiques sur les agences de santé publiques. Il a laissé entendre que les politiques de vaccination aux États-Unis étaient influencées par des intérêts financiers plutôt que par des considérations strictement sanitaires. Pressions politiques et censure Il a évoqué les tentatives de certains élus et institutions de le faire taire en raison de ses positions sur les vaccins et la santé publique. Il a notamment critiqué les plateformes de médias sociaux qui auraient censuré ses prises de parole sous pression du gouvernement et des groupes pharmaceutiques. Dénonciation d’une médecine guidée par le profit Il a insisté sur le fait que certaines décisions sanitaires, y compris pendant la pandémie de Covid-19, auraient été dictées par des intérêts commerciaux plutôt que par la science. Toutefois, il a été plus prudent que par le passé, évitant d’entrer dans des accusations trop directes pour ne pas compromettre ses chances de confirmation par le Sénat. Verdict du Sénat attendu pour l’autoriser à être Ministre de la Santé. Le Sénat américain est composé de 100 sénateurs, répartis entre le Parti républicain et le Parti démocrate. Actuellement, les républicains détiennent 53 sièges, les démocrates en ont 45, et deux sénateurs indépendants qui votent généralement avec les démocrates. Robert F. Kennedy Jr., nommé ministre de la Santé par le président Donald Trump, doit obtenir l’approbation du Sénat pour sa nomination. Étant donné la majorité républicaine, il est probable que sa nomination soit confirmée, bien que des sénateurs démocrates puissent exprimer des réserves. Un grand nombre de conspirationnistes attendaient des déclarations et diverses accusations avec preuves. Oui, de nombreux partisans des théories du complot s’attendaient à ce que Robert F. Kennedy Jr. fasse des accusations plus spectaculaires contre l’industrie pharmaceutique, les autorités sanitaires ou même des personnalités politiques influentes. Cependant, sa prise de position plus modérée lors de l’audition a déçu certains de ses soutiens les plus fervents. Voici ce qu’on peut en conclure : 1- Attentes des conspirationnistes Beaucoup espéraient qu’il présente des preuves ou des révélations concrètes sur des conspirations qu’il aurait dénoncées dans ses écrits ou déclarations précédentes, notamment sur la manipulation des politiques publiques par des entreprises pharmaceutiques. Ils attendaient également une critique plus acerbe du “système” de santé, en particulier concernant la pandémie de Covid-19 et la gestion de la crise sanitaire. 2- Réaction à ses déclarations Lors de l’audition, Robert F. Kennedy Jr. a préféré adopter un discours plus mesuré et diplomatique pour se donner une chance de confirmation, ce qui a déçu ceux qui espéraient une dénonciation en grande pompe. Certains commentateurs proches de ces mouvements ont exprimé leur mécontentement, estimant qu’il n’avait pas assez tenu tête aux sénateurs et n’avait pas développé les accusations qu’ils attendaient. 3- Dilemme politique Bien qu’il ait tempéré ses propos pour satisfaire à la procédure de confirmation, il est probable que ses anciens partisans se sentent frustrés par son approche plus pragmatique. Il a clairement voulu se distancer de l’image de “radical” pour augmenter ses chances d’obtenir le poste de ministre de la Santé. Cela montre que ses déclarations devant le Sénat ont marqué un tournant, où il a essayé de concilier ses opinions personnelles avec les exigences politiques et institutionnelles de son poste potentiel. Un résultat d’audience très attendu pour savoir si Kennedy junior peut être Ministre de la Santé sous le Gouvernement de Donald Trump. Nous sommes certains que ce dernier a déjà une autre solution à lui proposer en cas de refus du Sénat. Les républicains étant majoritaires pour le vote, nous avons toutes les raisons de croire qu’il recevra une validation pour être ministre de la Santé US. Leo pour Amazlife Actualité
DONALD TRUMP SOUHAITE QUE LES USA SOIENT DE NOUVEAU UNE TRÈS GRANDE PUISSANCE

Il part en guerre contre les gaspillages de l’État et nombreuses agences ouvertes et créées par les démocrates employant que des démocrates… part en croisade contre le wokisme, les mouvements LGTB, Les divers soutiens aux organisations terroristes tels que le Hamas, Hezbollah ou autres. Contre les pays soutenant les BRICS, principales actions contre LES USA. SIGNATURE DE 200 DÉCRETS PRÉVU SA PREMIÈRE SEMAINE D’INVESTITURE. Le président Donald Trump, récemment réélu, prévoit de signer plusieurs décrets exécutifs dès son entrée en fonction le 20 janvier 2025. Ces mesures visent principalement à renforcer la sécurité aux frontières et à modifier les politiques d’immigration en vigueur. Position de Donald Trump : Donald Trump souhaite sous son mandat expulser tous les étudiants étrangers participants à des marches et des manifestations pro palestiniennes ou pro Hamas ou bloquant, des campus universitaires, menace également n’importe quels américains de prisons ou de fortes amendes pour des comportements similaires soutenant ou manifestants pour des mouvements terroristes. Ces positions illustrent les divergences politiques aux États-Unis concernant la question palestinienne et les réactions aux mouvements de soutien sur le sol américain. Principaux décrets attendus : Renforcement des mesures contre l’immigration clandestine : Dès son premier jour au pouvoir, Donald Trump envisage de signer des décrets renforçant la lutte contre l’immigration illégale. Ces mesures donneraient davantage de latitude aux agents chargés de l’immigration pour arrêter des personnes sans casier judiciaire, augmenteraient les effectifs à la frontière avec le Mexique et relanceraient la construction du mur frontalier. Annulation des programmes d’entrée légale mis en place par l’administration précédente : Le président prévoit de mettre fin aux programmes instaurés par Joe Biden, qui avaient permis l’entrée légale de centaines de milliers de migrants ces dernières années. Des incitations au départ volontaire pourraient être mises en place pour les personnes dont le statut a expiré. Déploiement de la Garde nationale et déclaration d’urgence nationale : Pour renforcer la sécurité à la frontière, Donald Trump entend déployer la Garde nationale et qualifier l’immigration clandestine d’urgence nationale, ce qui permettrait de débloquer des fonds pour la construction du mur. Rétablissement du programme “Restez au Mexique” : Le président souhaite rétablir ce programme, qui impose aux demandeurs d’asile non mexicains de rester au Mexique pendant la durée d’examen de leur dossier aux États-Unis. DONALD TRUMP PRENDRA ÉGALEMENT DES POSITIONS CONTRE 1. Contre le mouvement “woke” : Opposition à la “cancel culture” : Trump critique régulièrement le “wokisme”, qu’il associe à une censure et à une remise en cause des valeurs américaines traditionnelles. Discours sur les programmes éducatifs : Il s’est opposé aux programmes scolaires axés sur la théorie critique de la race et a plaidé pour une éducation qui célèbre l’histoire américaine. 2. Position sur les droits LGBT+ : Actions contrastées : Durant sa présidence, il a mis fin à certaines protections pour les personnes transgenres, notamment l’interdiction pour ces dernières de servir dans l’armée. Cependant, il a également déclaré soutenir les droits de la communauté LGB (sans inclure les droits trans dans certaines déclarations publiques). Opposition à certaines législations progressistes : Il critique souvent les initiatives qu’il considère comme une atteinte aux valeurs conservatrices. 3. Contre le Hamas : Soutien à Israël : Trump a pris des mesures pro-Israël marquées, comme la reconnaissance de Jérusalem comme capitale et la signature des Accords d’Abraham. Position ferme contre le Hamas : Il considère le Hamas comme une organisation terroriste, exprimant un soutien indéfectible à Israël pour combattre cette menace. 4. Autres oppositions : Médias et élites culturelles : Il critique régulièrement les médias qu’il accuse de promouvoir une vision progressiste et biaisée. Promotion du conservatisme culturel : Trump prône un retour aux valeurs traditionnelles, opposant souvent sa base électorale à ce qu’il qualifie de “gauche radicale”. Ces initiatives témoignent de la volonté de l’administration Trump de durcir les politiques migratoires et de renforcer la sécurité aux frontières dès le début de son mandat. Donald Trump, lors de son second mandat entamé le 20 janvier 2025, a exprimé sa volonté de restructurer en profondeur l’administration fédérale américaine. Cette initiative inclut la suppression ou la réduction de certaines agences gouvernementales, notamment celles perçues comme ayant été créées ou soutenues par les administrations démocrates précédentes. Principales mesures envisagées : Réduction des effectifs de la fonction publique : Trump prévoit de reclasser des milliers de postes de fonctionnaires, facilitant ainsi le licenciement des employés considérés comme opposés à son agenda. Cette démarche vise à remplacer les fonctionnaires de carrière par des individus loyaux à sa vision politique. Réorganisation du Département du Commerce : Des réductions significatives de personnel sont prévues, avec la possibilité de privatiser certains services, tels que le National Weather Service, ce qui pourrait limiter l’accès public aux données météorologiques essentielles. Démantèlement des initiatives de diversité : L’administration Trump entend supprimer les programmes de diversité et d’inclusion au sein des agences fédérales, les considérant comme incompatibles avec sa vision des politiques gouvernementales. Création du Département de l’Efficacité Gouvernementale (Department of Government Efficiency) : Cette nouvelle entité aurait pour mission de restructurer les agences fédérales, en fusionnant ou en éliminant celles jugées inefficaces ou redondantes. L’objectif est de rationaliser le gouvernement en réduisant la bureaucratie et en augmentant l’efficacité administrative. Ces initiatives reflètent la détermination de l’administration Trump à transformer l’appareil gouvernemental en profondeur, en ciblant spécifiquement les structures et les programmes associés aux politiques démocrates. Toutefois, la mise en œuvre de ces mesures pourrait rencontrer des obstacles juridiques et politiques, notamment en raison de la résistance des institutions établies et des implications potentielles sur les services publics. Donald Trump sera un Président tout terrain pour une seule cause, faire redevenir LES USA UNE TRÈS GRANDE PUISSANCE RESPECTÉ DANS LE MONDE. LEO POUR Amazlife
DONALD TRUMP NOUVEAU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS

SES DIFFÉRENTES POSITIONS Donald Trump, président désigné des États-Unis, a récemment exprimé des positions ambitieuses concernant plusieurs pays : Canada : Il a suggéré que le Canada devienne le 51ᵉ État américain, menaçant d’utiliser la “force économique” pour y parvenir, notamment par l’imposition de tarifs douaniers élevés. Groenland : Trump a réitéré son intérêt pour l’annexion du Groenland, territoire autonome du Danemark, n’excluant pas le recours à la force militaire pour en prendre le contrôle. Canal de Panama : Il a exprimé le souhait de reprendre le contrôle du canal de Panama, critiquant l’accord de 1977 qui a transféré sa gestion au Panama, et n’écartant pas l’usage de la force pour ce faire. Mexique : Trump a annoncé son intention d’imposer des “tarifs très sérieux” contre le Mexique, sans fournir de détails supplémentaires. Venezuela : Aucune déclaration récente spécifique de Trump concernant le Venezuela n’a été relevée dans les sources disponibles mais serait pour renverser le régime actuel. Par ailleurs, Trump prévoit de réduire le nombre de fonctionnaires fédéraux, envisageant des licenciements massifs et le déplacement d’agences hors de Washington D.C., dans le cadre de son projet “Project 2025”. TikTok : Il envisage de suspendre temporairement l’interdiction ou la vente forcée de TikTok aux États-Unis en émettant un décret présidentiel. Cette décision retarderait l’application de la loi visant à interdire l’application pour des raisons de sécurité nationale. Hamas : Trump a averti que “l’enfer va se déchaîner” si le Hamas ne libère pas les otages israéliens avant son investiture. Il a également revendiqué un rôle dans l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, le qualifiant de résultat de son “effet Trump”. Liban : Il envisage redonner la souveraineté au Liban en souhaitant se débarrasser des terroristes du Hezbollah.Le 20 janvier, Donald Trump partira en guerre sur nombreux fronts. Le monde peut très bien se réjouir comme aussi bien trembler. LE MONDE WOKISTE ET LES LGTB TREMBLENT Donald Trump, président désigné des États-Unis, a exprimé des positions et mis en œuvre des politiques qui ont suscité des préoccupations au sein de la communauté LGBTQ+. Lors de son premier mandat, son administration a annulé plusieurs protections pour les personnes LGBTQ+, notamment en interdisant aux personnes transgenres de servir dans l’armée américaine. Pour son second mandat, Trump a annoncé des mesures supplémentaires qui pourraient affecter les droits des personnes LGBTQ+ : Soins de santé : Il prévoit de restreindre l’accès aux soins de santé pour les personnes transgenres, en particulier les soins affirmant le genre, en supprimant les financements fédéraux pour les hôpitaux et les prestataires de soins qui offrent ces services. Éducation : Trump a l’intention de révoquer les protections du Titre IX qui permettent aux étudiants transgenres d’utiliser les installations correspondant à leur identité de genre. Il propose également de promulguer une loi fédérale reconnaissant uniquement deux genres assignés à la naissance. Service militaire : Il envisage de rétablir l’interdiction pour les personnes transgenres de servir dans l’armée, une politique qu’il avait mise en place lors de son premier mandat. Ces positions ont conduit de nombreux individus LGBTQ+ à accélérer leurs démarches pour sécuriser leurs droits, craignant des reculs potentiels sous la future administration. Par ailleurs, le projet “Project 2025”, soutenu par des conservateurs, propose des changements politiques qui pourraient affecter davantage les droits des personnes LGBTQ+. Bien que Trump ait publiquement pris ses distances avec ce projet, des similitudes existent entre leurs programmes respectifs. UNE CERTITUDE IL VA AVOIR DU TRAVAIL DONALD TRUMP, AMAZLIFE SERA TOUJOURS PRÉSENT POUR LE SUIVRE. Leonardo pour Amazlife Actualité
DONALD TRUMP CONTRE L’ANTISÉMITISME

Une semaine après sa victoire, Donald Trump s’exprime sur le racisme et l’antisémitisme qui explose dans le monde, mais surtout aux USA où il est devenu le prochain Président. VOILÀ CE QU’IL COMPTE FAIRE POUR LUTTER CONTRE CE RACISME. APRÈS 4 ANS DE JOE BIDEN ET UNE HAUSSE IMPORTANTE DES ACTES ANTISÉMITES AUX USA. Donald Trump et son administration s’engagent feront la guerre à la haine des Juifs et d’Israël sur le sol Américain, s’engage à défendre du mieux possible n’importe quel citoyen américain de confession juive, mais aussi lutteront contre le racisme simplement. MESSAGE POUR LES PRÉSIDENTS ET DIRECTEURS D’ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES. Devront empêcher et interdire toutes manifestations pro terroristes ou contre les Juifs ou contre l’État d’Israël, ils seront alors poursuivis, retrait de leurs accréditations de président d’établissements et la fin des aides financières d’États pour leurs établissements. MANIFESTANTS PRO TERRORISTES DU HAMAS OU DU HEZBOLLAH Chaque manifestant scandant des messages de haines hostiles à Israël ou aux Juifs serons susceptibles d’être poursuivi, emprisonné ou refoulé du sol américains pour ceux n’ayant pas la green carte. ÉDUCATEURS, PROFESSEURS, HOMMES DE RELIGIONS ET AUTRES ENSEIGNANTS Ne devront pas enseigner la haine, le racisme et l’antisémitisme à leurs élèves ou autres publics, ils seront alors passible d’amendes, de poursuites et pour certains d’être refoulé du sol américains. DONALD TRUMP ET SON ADMINISTRATION NE RIGOLE PAS AVEC LE RACISME. Nabil pour Amazlife